Nous travaillons au quotidien afin de vous proposer les meilleurs produits de cosmétique clean.

Cela consiste en un travail permanent d'analyse des compositions des produits afin de ne vous proposer que les ingrédients les plus nobles, les plus propres et les marques les plus engagées.

Nous réalisons ce travail en nous basant sur la littérature existante, sur les dernières études scientifiques menées, ainsi que sur base des avis du mouvement Slow Cosmétique®, dont nous sommes un partenaire officiel.

Voici la liste des ingrédients que nous bannissons dans nos sélections:

  • Les huiles minéralesParaffinum liquidum, Cera microcristallina, Mineral Oil, Petrolatum, etc.
    Elles sont dérivées de la pétrochimie, de schistes, etc. Ce sont des corps gras inertes pour la peau qui n’entrent pas en interaction avec elle. Ces huiles forment un film occlusif sur la peau qui empêche l’eau de s’évaporer. Elles possèdent un bilan écologique désastreux et n’apportent pas grand-chose à la peau.
  • Les alcools gras et les solvantsMethyl / Propyl / Caprylyl -alcohol, Alcool cétylique, Alcool stéarilique, etc.
    Ils permettent de stabiliser et d’émulsionner les cosmétiques. Ces ingrédients de synthèse peuvent être irritants et sont polluants pour l’environnement. Ils possèdent en outre à peu près les mêmes caractéristiques que les huiles minérales.
  • Les siliconesLes silicones ont une terminaisons en -one ou -oxane : dimethicone, cyclohexasiloxane, etc. 
    Bien tolérés par la peau, ils apportent une douceur et une «glisse» supplémentaire aux cosmétiques. Néanmoins, ils ne nourrissent pas la peau et surtout, ils mettent des centaines d’années à se dégrader. On les retrouve dans énormément de cosmétiques conventionnels rinçables ou non, notamment les shampooings, les gels douche, le maquillage, etc.
  • Les polymèresPEG, PPG mais aussi -cellulose, crosspolymer, polypropylène, X-polymer-X, X-vinyl-X, etc. 
    Ces matières tantôt plastiques tantôt pétrochimiques possèdent à peu près les mêmes caractéristiques que les silicones en apportant une touche de douceur. Ils peuvent aussi servir d’émulsifiant. Ils sont obtenus à partir de chimie polluante, avec l’usage de gaz toxiques parfois pour les substances éthoxylées (repérez la terminaison en -eth). 
    Exception:
    Nous tolérons exceptionnellement la présence de certains polymères, à faible dose, dans certains produits, à l'instar du mouvement Slow Cosmétique dont nous sommes membre. Pourquoi? Leur fabrication n'est pas des plus écologiques, mais au niveau cutané, rien de fâcheux. De plus, les marques qui les utilisent (comme par exemple Zao dans ses vernis) sont extrêmement regardantes quant aux compositions qu'elles proposent et comme le mentionne le label Slow Cosmétique, elles sont "(...) félicitées dans leur ensemble, et les rejeter pour ce seul ingrédient serait injuste car ces marques sont dans leur ensemble écologique, saine, intelligente et raisonnable".
  • Les sels d'aluminiumPréfixes et Terminaisons avec - Aluminium -
    Agents anti-transpirants et sujets à polémiques, ils sont suspectés d’avoir un impact sur le système nerveux à long terme. Attention, l’alumina n’est pas concerné car inerte et autorisé en bio notamment.
  • Les conservateurs polémiquesBHT, EDTA, Phenoxyethanol, benzophenone, alcohol, -paraben-, Quaternium 15, Quaternium 18, Polyquaternium 10, DMDM Hydantoin, Chlorphenesin, Diazolidinyl uurea, Methylisothiazolinone, etc.
    Les conservateurs sont nécessaires pour les cosmétiques contenant de l’eau pour éviter les contaminations et développements bactériologiques et moisissures. Certains conservateurs sont là pour protéger la formule de l’oxydation. On leur reproche d’être tantôt irritants au long terme, tantôt polluants, tantôt cancérigène potentiels, et tantôt perturbateurs endocriniens.
    Exception:
    Nous tolérons exceptionnellement la présence de certains conservateurs non acceptés en bio (comme par exemple l'ethylhexylglycerin et le tetrasodium glutamate diacetate), à faible dose, dans certains produits, à l'instar du mouvement Slow Cosmétique dont nous sommes membre. Pourquoi? Leur fabrication n'est pas des plus écologiques, mais au niveau cutané, rien de fâcheux. De plus, les marques qui les utilisent (comme par exemple Zao dans ses vernis) sont extrêmement regardantes quant aux compositions qu'elles proposent et comme le mentionne le label Slow Cosmétique, elles sont "(...) félicitées dans leur ensemble, et les rejeter pour ce seul ingrédient serait injuste car ces marques sont dans leur ensemble écologique, saine, intelligente et raisonnable".

  • Les perturbateurs endocriniens: on les soupçonne de plus en plus d’avoir un impact sur notre santé hormonale et sexuelle, notamment. Les plus courants sont:
    • les parabens, dont methyl- propyl- ethyl- et butylparaben
    • le phenoxyethanol
    • le triclosan et le BHA
    • les filtres UV synthétiques: benzophenone, oxybenzone
    • les phtalates, et notamment le diethyl phtalate et les noms contenant phtalic acid

Cette liste peut être amenée à évoluer en fonction des études récentes. 

L'exception des produits solaires

Les soins solaires sont une catégorie particulière. En effet, à l'heure actuelle, comme nous le rappelle le label Slow Cosmétique®, il n'existe donc à ce jour aucun soin solaire 100% propre.

Pour découvrir notre approche, rendez-vous sour la rubrique L'exception des Soins Solaires.

    Sources: slow-cosmétique.org